Même pas besoin d’invoquer un degré de conscience pour considérer la vie sensible, sinon on pourrait justifier de manger des handicapés lourds qui en ont peut-être un degré infime par rapport à une baleine.
C’est que d’un point de vu rationnaliste, matérialiste et scientifique, il n’y a que des différences très marginales entre la sensibilité à la douleur d’un chien ou d’un enfant.
D’un point de vu rationnaliste, matérialiste et scientifique, frapper un enfant ou un chien, c’est exactement pareil, c’est infliger le même niveau de douleur à un organisme qui l’apréhende de façon presque (...)