C’est un peu le problème de l’époque, de parler au conditionnel : on dit tout et n’importe quoi (avouant même que l’on est incompétent pour en parler), si personne ne le remarque, ça passe comme si c’était au présent, et si quelqu’un le remarque, on peut se planquer derrière le conditionnel. Je n’ai aucune sympathie particulière pour Alain Soral (dont j’ai arrêté la lecture du bouquin à la page 50, bouquin dont le seul qualificatif qui me vienne à l’esprit est « indigent »), mais je constate qu’une certaine partie des commentateurs internet passe plus de temps à taper sur des irresponsables professionnels à (...)