Trois heures du mat et de nouveau tu visionnes la chose, yahou en bandoulière. Fasciné, tu regardes ce danseur qui envahit les images, conquérant. Agile comme un chat, il glisse gracieusement parmi ses partenaires, s’enroule autour des corps, se délie, joue avec l’espace. Il semble à l’aise, heureux, explosif, l’étoffe d’un grand. Pour un peu, tu en oublierais presque qu’il n’a pas de jambes.
Elle ne m’a pas dit grand chose, la grande amie danseuse qui m’a mis cette vidéo sous les yeux. Elle m’a juste (...)