Ah bah voui, hein, c’est bien ce que je disais. Je m’imaginais tellement bien le film que j’ai pas besoin d’aller le voir et que ça me fait des économies. La seule présence féminine, c’est la mèèère à sa place « naturelle » de ramasse- merde qui moufte pas (et qui se mange sans doutes quelques beignes pa’ce’ qu’elle ramasse pas assez vite mais ça le film le dit pas tellement qu’il est occupé à causer de l’émouvante brochette de chérubins)."
Oui, un film androcentré et phallocrate. Il suffisait de lire l’article pour le (...)