Il y a une grande part de réalité dans cet article et dans l’heure où l’on parle de « parachutés » , il y en a pas mal dans la délégation Louvre-Lens qui pourraient, voir devraient, se poser des questions...
Le bassin est triste mes camarades, laissé à l’abandon, dépourvu d’un semblant d’espoir de solidarité qui a fait son émulsion. Entendre un maire qui veut faire de Lens une ville de cadre... Les seules boutiques qui survivent sont celles des produits de luxe, pour la création d’un bassin qui gloutonne de force la grande distribution, la peur de l’autre et l’individualisme. Il y a de l’indignation dans (...)