Article intéressant. Cependant, je trouve que la réponse à la critique de « Techno, le son de la technopole » n’est pas très approprié.
Car quand ils affirment que les machines utilisés par les liveurs et DJ dans les free party accompagnent l’emergence d’un capitalisme hi tech, je pense qu’ils font surtout référence au matériel en tant qu’objet issu de la production, et non pas à son utilisation musicale « répétitive ».
La réponse de l’auteur se focalise sur l’aspect musicale, rappelant que certains beat repetitifs évoque le bruit de l’usine etc, MAIS que cependant les nombreuses cassures sont des éléments (...)