ARTICLE11

Poster un message

En réponse à :

Chabat’z d’entrar

samedi 6 février 2010 à 10h10, par Sébastien C., facteur d’orgues.

C’est que nos mots sont réducteurs pour définir notre verbe commun. En effet, il est plusieurs silences : celui de la musique de la neige qui, au moment ou votre serviteur tape ces lignes, tombe en symphonie fantastique, et celui des fréquences inaudibles qui sont assourdissantes et volontairement destructrices. Sachons ne pas nous tromper de partition pour accueillir les envies singulières des drôles dont les papilles gustatives s’amouracheraient de désir. Puisqu’il est acquis que la richesse des cœurs est inversement proportionnelle à celle du climat, le craquement du feu dans le poële ou la (...)


Un message, un commentaire ?
  • (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)