« entre les procès de connivence et les procès de rupture »
Ça résume bien le truc, je trouve. Evidemment, il y a des nuances, mais ça revient plutôt à ça.
« la connivence ça porte bien son nom. »
En même temps, c’est Xavier Mathieu qui a cet aspect très militant. Les autres sont d’abord des licenciés tentant de sauver leur emploi, et je comprends facilement qu’ils aient pu penser jouer la sécurité et ne pas risquer d’alourdir la facture.