« si on peut tromper l’ennemi pour sauver sa peau, pourquoi pas ? »
On est d’accord. Mais tu soulignes toi-même le problème, peu avant dans ton commentaire :
« Le problème avec les »Contis« , c’est qu’il y avait la vidéo. »
Ces images font qu’il n’est plus possible de « tromper l’ennemi ». Au mieux, l’apitoyer ; mais le tromper, non. C’est seulement pour ça que je me permets de regretter cette ligne de défense. Sans les enregistrements vidéos, qui jouent le rôle d’une évidente dénégation à leurs éventuels démentis, je ne me serais pas permis de déplorer ce choix.
Pour Rouillan, t’as pas tort. Mais on trouve (...)