J’ai moins développé que je ne pensais au départ, mais ma réflexion est en chantier. Je crois que l’on nous impose des mots pour dire ce qui n’est pas la réalité et que l’on joue sur nos représentations antérieures afin qu’il n’y ait pas de débat cohérent. Les communiqués de Lefebvre sont hallucinants et pourtant la presse reprend les termes exacts de ses propos, par exemple en parlant de « clandestins » et non de « réfugiés » ou d’« émigrants ». J’ai entendu ce matin des journaux honteux de France Inter qui parlaient de « versions contradictoires ou confuses » parce que toutes identiques. Les éléments de langage (...)