samedi 5 juin 2010 à 12h30, par les amis du négatif à l’oeuvre
Les drapeaux ne fixent jamais que ce qu’ils diluent.
La hampe en est souvent assez longue au point de pouvoir en attirer toute une kyrielle en superpositions contradictoires mais de fait irréductiblement complémentaires.
Les recours aux drapeaux (dessous ou encore autour) ne nous font pas blander mais tous nous foutent irrépressiblement les glandes !
Qu’ils soient noirs, rouges, syndicalistes, patriotiques, nationalistes ou même « sportifs »....
C’est à chaque fois la même gerbe que nous inspire ce type de commodités consacrant la négation de soi , célébrant le sacrifice et le décervelage (...)
