Cette convergence éclatée vers Istanbul, c’est logique, c’était prévisible, se dit-on... a posteriori, après avoir lu et relu ce texte, beau, construit, dense, serré comme son titre. On peut bien être habitée par les villes, les écheveaux qui s’y débrouillent, leurs grands dangers (on s’en fout, on veut savoir), ici d’autres questions fusent, et l’imaginaire aussi — un imaginaire pourtant cramé par l’abus de beignets carbonisés à l’huile de vidange, insensible à l’esthétique des petits pavés pour petits petons menant vers des gargotes restées simples comme les indigènes. Insensible un peu comme les gens d’Albert (...)