Ah, mais j’aimerais bien que l’on entamme le débat, cher anonyme, sur ce que tu entends par « attachement irrationnel » à la monarchie...
à mon très humble avis, ce sentiment populaire, très ancien, cette mémoire historique vécue par le très subtil peuple marocain, lui a permis de sentir qu’il valait mieux subir le joug terrible d’un Hassan II, que vivre l’aventure d’un régime de colonels ou généraux putschistes...
et je peux en témoigner, étant né et ayant longuement vécu et pratiqué les rencontres dans le nord du pays, Jbala, Ghomara, Rif, régions les plus anti-makhzen et anti-alaouites qui (...)