ARTICLE11
 
 

lundi 19 décembre 2011

Textes et traductions

posté à 17h31, par Les éditions La Lenteur
23 commentaires

La fureur énergétique (ou comment s’en défaire)

C’est un texte-tract sans fioritures, un uppercut bien senti. Distribué lors de manifestations anti-nucléaires en octobre dernier, signé par les camarades des éditions La Lenteur, il s’attaque frontalement aux fondements de notre société de consommation droguée à la surenchère énergétique, à sa morbide course vers la grande culbute. Comme on aimerait lire ça plus souvent, on a choisi de le publier.

Ce texte a été distribué lors des manifestations antinucléaires du 15 octobre dernier, dans la ville de Toulouse. Il est librement inspiré d’un autre tract au titre semblable, qui avait circulé dans les Cévennes peu après le début de la catastrophe de Fukushima.

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Depuis longtemps, la mémoire des hommes avait enregistré que la côte Nord-Est du Japon était exposée à des tsunamis violents du fait de la proximité d’une zone sismique. Au XIXe siècle, une vague de 30 mètres avait été observée. Malgré ce que le Japon avait déjà subi de la science de l’atome en 1945 (Hiroshima, Nagasaki), le forcing industriel avait réussi quelques années plus tard à implanter là une centrale nucléaire à l’abri d’une digue de 5 mètres seulement.
Le 11 mars dernier, la violence des flots a anéanti tous les dispositifs de sécurité. Pompiers, techniciens, liquidateurs volontaires ou forcés (certains sont réquisitionnés parmi les SDF), tentent depuis des mois, au péril de leurs vies, de freiner le processus inimaginable qui s’est déclenché à Fukushima. Tellement inimaginable que personne n’en souffle plus mot, que les médias préfèrent ne rien nous en dire, et laisser ce démenti brûlant de l’arrogance moderne s’épancher dans un assourdissant silence – de honte.

La compagnie propriétaire du site était connue pour ses mensonges. En accord avec l’État, elle avait systématiquement minimisé des incidents antérieurs. La catastrophe en cours depuis mars démontre la fatuité des élites politiques et techniciennes, leur impuissance à dominer la machinerie qu’ils ont mise en branle, qui est hors de proportion avec l’intelligence et les sentiments humains. Cet emballement n’est pas propre au nucléaire : la dérive climatique suscite une détresse analogue. Le déséquilibre entre ce qu’une activité humaine aliénée, obsédée par l’efficacité à court terme, peut produire et ce que les êtres humains sont en général capables de comprendre et d’endurer, apparaît de plus en plus tragiquement.

La conjuration industrielle présente la croissance des moyens de production les plus extrêmes comme inévitable, du fait de l’explosion démographique et de la demande universelle de « confort ». Les décideurs veulent faire croire que c’est la somme de besoins individuels qui pousse spontanément au gigantisme et à la déraison. Mais alors, pourquoi n’interdisent-ils pas la publicité qui stimule et déforme ces besoins (et coûte si cher en énergie…) ? C’est que la société dont ils sont les dépositaires ne pourrait tenir sans cela. Impossible d’arrêter la course au plus. Les capitaux partout investis doivent fructifier, sous peine de faillite généralisée.

Les élites enragées de bizness font ainsi chanter des peuples le plus souvent passifs et consentants : la surenchère énergétique ou le gouffre économique ! La course à l’abîme écologique ou le chaos social ! La peste ou le choléra ! Peu importe que ce soit du nucléaire, du gaz de schistes, du pétrole ou du renouvelable (éolien, photovoltaïque) – filières différentes mais sur lesquelles surfent indifféremment les firmes les plus avisées, comme GDF-Suez. L’important est que soit exclue la question : « Combien d’énergie et pour quoi faire ?  » La boulimie d’énergie est la malédiction normale d’une société qui a accepté l’autonomie de la logique économique comme un bien (ou un moindre mal).

Qui veut aujourd’hui remettre frontalement en cause cette logique économique et la boulimie mortifère qui en découle ? Qui souhaite sérieusement sortir de la compétition mondiale, de la course aux plus bas coûts de production, du règne des chiffres, du renouvellement incessant des marchandises, de l’extension sans fin des réseaux de communication (matériels et immatériels) ? Bref, qui est prêt à se battre contre le développement, pour une autre idée de l’homme que celle qui a dominé en Occident et ailleurs depuis plusieurs siècles ?

Actuellement, aucune force politique ou sociale n’existe pour cela. Par contre, cette direction affleure dans un certain nombre de luttes locales contre des infrastructures industrielles, en Europe et en Amérique latine. Elle est portée, souvent de manière incomplète, timide ou implicite, par ceux et celles qui se battent contre le TGV dans le Piémont (Italie) et au Pays Basque (Espagne), ou qui empêchent la construction du nouvel aéroport de Nantes, par une partie de la mobilisation contre l’extraction de gaz de schistes en France, par les luttes contre l’implantation d’éoliennes ou les transports de déchets nucléaires.

Il serait bon que l’espace et l’esprit de ces luttes s’étendent dans la société. Il serait souhaitable qu’elles amènent au centre du débat politique la nécessité d’un inventaire radical de nos besoins – un inventaire qui ne reposerait pas sur les statistiques des experts et ouvrirait d’autres perspectives que celle, chimérique, d’une « consommation responsable ». Comme le disent des antinucléaires bretons, «  la ligne de partage n’est pas entre le nucléaire et les énergies alternatives mais entre une production d’énergie centralisée, commerciale et gérée par en haut, et une production décentralisée, contrôlée localement et renouvelable ; une production en contact direct avec les besoins qu’elle doit satisfaire. C’est seulement à l’échelle locale que se dissout l’alternative entre le nucléaire et la bougie : car là les besoins existants peuvent se donner les moyens de la production qui leur est nécessaire, et en retour les possibilités de production peuvent redéfinir intelligemment les besoins. Il faut cesser de penser la question de l’énergie en terme national si l’on entend sortir de l’impuissance  ».

Ajoutons qu’il faut aussi sortir du cadre de la politique professionnelle et électorale. La totalité de la classe politique française s’est portée caution des meurtres de Tchernobyl et Fukushima, en n’arrêtant pas immédiatement et sans condition les centrales nucléaires sur notre sol, et en continuant d’en exporter à travers le monde. Pourra-t-on, chez nous, en sortir sans dégager l’ensemble de nos représentants ?

Les éditions La Lenteur, octobre 2011

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Les éditions La Lenteur ont publié en 2007 une Histoire lacunaire de l’opposition à l’énergie nucléaire en France, textes choisis et présentés par l’ACNM ; elles feront paraître en 2012 une réédition de Tchernobyl, une catastrophe, bilan de l’accident européen de 1986 dressé par les physiciens indépendants Bella et Roger Belbéoch.
Leur dernière publication est un essai de Dwight Macdonald, Le socialisme sans le progrès (The Root is Man), figure de la gauche antistalinienne aux États-Unis après la Deuxième Guerre mondiale. Dans cet ouvrage publié en 1946, il remettait en cause l’idée que le communisme découlait logiquement du développement des sciences et de l’industrie. À ses yeux, le Progrès pouvait être un obstacle à la construction d’un monde plus juste, fraternel et libre. Il soulignait que la construction d’un tel monde exigeait la défense de certaines valeurs (et donc leur mise en discussion), plutôt que de s’en remettre au seul processus du développement économique.

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Petite pub en passant : Le tout récent numéro 7 de la version papier d’Article11 contient un reportage de Christine Ferret sur le déni de catastrophe dans le Japon post-Fukushima - « Japon : déni atomique ». Médias, politiques, société civile... tous (ou presque) d’accord pour faire comme si de rien n’était.

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COMMENTAIRES

 


  • lundi 19 décembre 2011 à 19h51, par un-e anonyme

    Bonjour la question con.
    Faudrait voir les Tunisiens et les Egyptiens.
    Ils vont devoir composer avec d’autres partis
    alors
    Pour être indépendant et défendre ses idées, il faut la proportionnelle.

    sinon ce sera rebelote pour un programme atlantiste, d’union sacrée, d’intelligence collective, de petits arrangements avec le PS faute d’un discours plus radical.

    faut-il encore rappeler que un parti qui a fait 31 % des voix au premier tour des présidentielles se retrouve avec une majorité de députés, ce qui est scandaleux.

    • mardi 20 décembre 2011 à 05h21, par el mexicano

      Pour demeurer sur le terrain de la question énergétique, les élections présidentielles nous offrent le choix entre des partis qui entendent poursuivre le délire nucléaire et un parti qui parle de couvrir le pays de parcs éoliens.

      Comme le dénoncent en ce moment même les indigènes de l’Isthme de Tehuantepec, les parcs éoliens qui plaisent tant à la mère Joly sont en réalité extrêmement destructeurs, entrainent une dépossession totale du territoire pour ses habitants, et génèrent des champs magnétiques tout à fait nocifs : autrement dit, ils participent largement de cette fureur que dénonce si bien le texte des éditions La Lenteur.

      Donc, je ne vois vraiment pas en quoi la perspective de revenir à la proportionnelle devrait mobiliser notre énergie (c’est le cas de le dire). Elire un monarque qui, entouré de ses experts, va ensuite nous imposer la poursuite du délire énergétique au nom du progrès, de la grandeur de la France ou du développement durable, quelque soit la couleur de sa livrée, blanche, rose ou verte, en quoi cela concerne-t-il quiconque se trouve plus ou moins en accord avec le texte de la Lenteur ? Hein ?

      • mardi 20 décembre 2011 à 08h28, par un-e anonyme

        bon, maintenant, le révolutionnaire patenté qui parle là, il se sent pas un peu isolé, une fois ?

        • jeudi 22 décembre 2011 à 19h45, par el mexicano

          C’est à moi que tu causes ? Que je te rassure de suite, je ne sens vraiment pas isolé -tout le contraire de l’électeur dans son isoloir. Je constate juste que tu ne réponds pas à l’objection que je formulais, concernant les options des différents candidats sur la fameuse politique énergétique. Enfin, quoiqu’il en soit, régales-toi bien en 2012 !

          • jeudi 22 décembre 2011 à 20h34, par un-e anonyme

            ha ha ha, l’image de l’électeur qui passe par l’isoloir.

            mais t’es le mexicain du PS, toi alors !

            • vendredi 23 décembre 2011 à 02h51, par el mexicano

              Je me trompe peut-être, mais on dirait que l’anonyme essaie de faire de l’humour ?

              • vendredi 23 décembre 2011 à 10h30, par un-e anonyme

                toi, on dirait que tu essaies de faire l’aborigène.

                • vendredi 23 décembre 2011 à 11h47, par el mexicano

                  L’aborigène ? Là ça devient trop subtil, j’avoue lâcher prise, d’autant qu’on s’est passablement éloigné du sujet initial (pour rappel, la critique faite par les éditions La Lenteur de la fureur énergétique).

                  • vendredi 23 décembre 2011 à 12h36, par un-e anonyme

                    c’est ça, tu repenseras à ce que je t’ai dit sur la proportionnelle à tête reposée.

                    • vendredi 23 décembre 2011 à 12h54, par el mexicano

                      Le sujet initial ne me semblait pourtant pas porter sur la proportionnelle. Et, au risque de me répéter, je ne vois pas en quoi un changement de régime électoral (i.e qui favoriserait les petites listes) mettrait fin à la « fureur énergétique », quand on voit les programmes des uns comme des autres en matière d’énergie. Nous voici donc revenus à la case départ.

                      • vendredi 23 décembre 2011 à 14h46, par un-e anonyme

                        te voici revenu à la case départ.

                        la proportionnelle, ça ne signifie pas qu’il y aurait moins de cohérence dans la politique énergétique.
                        Comment ça se pourrait
                        puisque aujourd’hui il y a des grands partis qui nous ont fait atteindre le pire en matière de politique énergétique.
                        ( suivant les intérêts des actionnaires, des lobbies et encore mieux au nom de la libre-entreprise ! )

                        c’est ces représentants là qu’il faut virer.

    • lundi 26 décembre 2011 à 07h21, par Martin Scriblerus (révolutionnaire dilettante)

      Hélas, trois fois hélas ! Il n’y a rien de plus seul qu’un électeur. C’est même sur cette solitude là que repose la magie de la constitution d’une « majorité », et simplement, le rassemblement autour d’un vote, d’un nom, d’un Parti ou même, pour les plus idéalistes, d’un pauvre Programme.

      L’implication, la prise de responsabilité, l’expression, le goût de l’autonomie, c’est quand même autre chose que les citoyennismes et leurs bruyantes démissions participatives. Cela mène très vite à penser, écrire et échanger autour de textes comme « La fureur énergétique », et à renoncer aux ersatz électoraux pour chercher autre chose : mais certainement pas à se branloter sur telle ou telle des illusions qu’ils génèrent.
      La critique d’une société énergivore comme l’est la nôtre appelle d’autres ambitions intellectuelles que les sempiternelles laborieuses considérations électorales avec ou sans relents de nationalisme.

      Faut-il utiliser internet pour le faire ?
      L’argument relève de la vulgaire tentative d’intimidation. C’est bien sûr une question qui peut se discuter, mais sur la base d’un accord de fond qui fait ici clairement défaut - certainement pas avec ceux qui le rejettent d’emblée. On conçoit qu’une pureté dans la cohérence qui mènerait la critique sociale à rester parfaitement invisible et inaudible aurait de quoi satisfaire ceux qui ne veulent pas même la voir commencer d’exister.

      Passons sur des tunisiens et des égyptiens qui n’en peuvent mais, convoqués ici sans vergogne pour faire diversion.



  • lundi 19 décembre 2011 à 21h42, par el mexicano

    ¡ Excellent ! tout est parfaitement résumé dans ce texte, en une version contemporaine du « socialisme ou barbarie » de jadis.

    Pour moi, un texte aussi clair, aussi percutant, a valeur de manifeste. Vous avez très bien fait de le publier. Je m’occupe derechef d’en faire établir une version castillane.

    Anecdote sordide : à 5 kms de la centrale nucléaire de Loma Verde, sur la côte de l’Etat de Veracruz, une mine travaillant à l’explosif fonctionne depuis quelques semaines... Si nous continuons de les laisser faire, « ils » nous entraineront tous dans leur folie auto-destructrice. Ils finiront alors comme Hitler dans son bunker, isolés dans leurs abris anti-atomiques alors que tout autour le monde s’écroule, et nous avec...



  • mardi 20 décembre 2011 à 13h20, par tiétienne 3000

    Ouais ! merci. Je vais pomper sur ce texte pour notre petite lettre d’infos où on va causer de la centrale solaire qui veut bouffer les terres agricoles de Beaucaire en niquant bêtes et plantes. ça va plaire aux collègues

    • mardi 20 décembre 2011 à 16h06, par un-e anonyme

      on dit ici des choses qui ne sont pas respectueuses pour nos ingénieurs et nos techniciens.

      les bourrins, soit ils s’occupent de leurs oignons, c’est à dire de travailler de manière non conventionnelle au lieu de se contenter d’être des fonctionnaires européens, , soit ils ferment leur gueule.



  • mercredi 21 décembre 2011 à 05h51, par a.

    « Contrairement à ce qui a été expliqué pendant des mois, l’entrée en fusion des trois réacteurs n’a pas été provoquée par le tsunami [...]. L’arrivée d’une grande vague de 13 mètres de hauteur, plusieurs heures après le séisme, n’a inondé que la partie basse des bâtiments. Selon une procédure automatique prévue à l’avance, les réacteurs (le numéro 6 étant en révision depuis plusieurs semaines) ont été brusquement mis à l’arrêt au moment du séisme de force 8,9 sur l’échelle de Richter alors que les prévisions et les précautions de l’opérateur n’avaient envisagé, avec l’accord des autorités de sûreté japonaises, qu’un tremblement de terre de force 7. Pour faire des économies lors de la construction qui avait d’ailleurs été effectuées par des compagnies différentes pour chaque installation. » -> http://www.politis.fr/Le-desespoir-de-Fukushima-et-la,16430.html



  • mercredi 21 décembre 2011 à 08h24, par un-e anonyme

    Éditer un texte des éditions de La Lenteur sur Internet ? N’est-ce pas un sacrilège ?

    • mercredi 21 décembre 2011 à 10h09, par Chuck

      Un sacrilège ? La critique de la production et de l’industrie n’est pas à ranger dans la case « religion »...

      Et puis ce n’est pas parce qu’on dénonce quelque chose que l’on doit/peut en faire abstraction... Critiquer ne signifie pas s’extraire, et gare aux postures puristes à force de volonté de cohérence : elles épuisent, ennuient et rendent tristes !

      Les militants anti-nucléaires utilisent l’électricité, certes, mais ils proposent de réfléchir collectivement à d’autres manières de penser le monde et l’organisation sociale, pour que l’on puisse (pas tout seul dans son coin) se passer de certaines saloperies et inventer des pratiques qui nous permettent d’imaginer des suites un peu moins effrayantes et un peu plus joyeuses... Pas à pas...

      Sans compter que ce texte est un texte-tract, donc public... Et l’écrit est orphelin comme disait Monsieur Platon : une fois couché sur le papier, il va sans maître...

      Bah, de toutes façons, j’aime pas les puristes, font qu’à manger de la purée...!

      • mercredi 21 décembre 2011 à 11h33, par un-e anonyme

        si anonyme n° 2 veut parler de sacrilège, il doit lire article 11, le déni atomique

        le nouveau premier ministre japonais prône la relance rapide des réacteurs japonais
        alors que 70 % des japonais se déclarent opposés à une telle mesure.

        alors forcément, cela porte outrage au peuple.

        Comme l’a rappelé aussi mermet cette semaine sur France inter, le lobby nucléaire a en France la même emprise sur les pouvoirs publics, les élus, sans parler de cette imperturbable arrogance des experts.



  • mercredi 21 décembre 2011 à 19h25, par pièce détachée

    « Karima Delli, rapporteure et députée européenne Europe Ecologie-Les Verts, a insisté sur la nécessité pour tous les Etats membres de mettre en oeuvre l’accord-cadre de 2004 sur le stress au travail. « Le stress au travail est reconnu comme un obstacle majeur à la productivité », a-t-elle expliqué. » (Lu récemment ici — rubrique « société », n’est-ce pas...).

    Les bouts de gras dans la citation sont de moi. Parce que la productivité le vaut bien.



  • lundi 16 février 2015 à 00h10, par kierahuietbi

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