Un monde où l’aliénation sociale serait grandement réduite ne pourrait-il pas permettre de comprendre davantage l’aliénation psychologique ? Et « vice versa », puisque selon certains elles ont un rapport dialectique (pour utiliser un grand mot savant) ? Bonnafé et Oury l’avaient suffisamment dit il me semble...
Je suis d’accord, bien sûr, mais pour autant on ne saurait réduire névroses et surtout psychoses à la seule aliénation née des rapports de production capitaliste. Dans le cas des psychoses on est à la limite de l’organique et du psychologique, une limite floue, mouvante, qui permet de dire que les (...)