Kamel D. est peut-être de bonne foi dans ses erreurs, ce qui ne le dédouane pas mais il fait les frais de la politique éditoriale dominante consistant à ne donner parole et exposition qu’à une lumpen-intelligentsia... et aux artistes. On verra donc acteurs, musiciens et bureaucrates de la culture exposer leurs avis sur la Syrie, quand ils ne savent pas placer Damas sur une carte sans l’aide de Google Map.
Cette radicalisation médiatique et ls strabisme globuleux qui accompagne son auditoire vient d’une désaffection générale de leur produit. Cette littérature poissonnière mais qui la lit encore, (...)