Merci mille fois pour le lien. Costaud (mon anglais est un peu rouillé) mais diablement intéressant. Et c’est vrai que le livre de Mike Davis date de 2007, son apogée et que la ville du désert semble désormais faire grise mine. Finalement, le destin de Dubaï formera peut être une parfaite parabole aux errements du capitalisme contemporain : splendeur et décadence. Ca vous a un petit côté Rome antique des familles, vivement les barbares...