Si je ne me trompe, c’est la deuxième fois que tu rétablis l’exactitude des faits, avec pédagogie et exhaustivité. Grand merci pour ça.
Et pour Jules Moch, rien d’étonnant : le bougre était vraiment un salopard fini. Il doit bouillir dans la grande casserole de l’enfer, en ce moment même - enfin, j’espère... :-)