Ah oui ! Et derrière Mitterrand, dans l’ombre, l’artisan de cette libéralisation, c’est pas un certain Jean-Charles Naouri, banqueroutier gagnant de Moulinex et de ses travailleurs à la rue, qui depuis est devenu l’une des premières fortunes de France, patron du groupe Casino exploiteur de gérants de supérettes, concurrent qui monte de Bernard Arnault (groupe Carrefour) au Brésil ? Comme on fait son lit on se couche (je ne sais pas si ce proverbe convient bien (...)