Mouaismouaismouais…
De un, je suis tellement peu anonyme que tu connais ma tête, puisque tu m’as vu, tu connais mon site et tu connais mon adresse. Alors ?
De deux, rien n’interdit à un journaliste de se pointer où il veut sans s’annoncer comme tel, surtout quand il s’agit d’une réunion publique. De toute façon, personne ne m’a rien demandé.
De trois : au revoir.