Ecoute, c’est tout à fait comme moi : je critique le capitalisme, mais je ne devrais pas y aller trop fort, parce que je loue un appartement, que j’achète mon pain à la boulangerie et mon pinard chez mon pote marchand de vin, tout ça grâce à ma force de travail (ou à ses effets à long terme vu que je suis au chômage).
Pardon de forcer le trait, mais si je suis bien, ce que tu souhaiterais c’est une critique moins radicale à l’encontre de la technoscience parce qu’on vit déjà dans un monde déjà envahi par la technologie (même si on n’a pas contribué à le créer) ; de la même manière que Sortir du nucléaire (...)