Décidément la grande Louise a ouvert encore plus de voies que je ne croyais. Pouvez-vous me donner les références exactes de son texte ? Pendant longtemps, j’avais tenu le discours assez débile qu’on retrouve partout encore « libérons d’abord les humains, les bêtes on verra plus tard », sans me rendre compte de la solidarité fondamentale qui relie l’ensemble du vivant. Comme on peut le voir à la lecture de mon texte « Le grand soir, ça commence » dans « La Révolution nécessaire » (Golias ed. - on peut le lire aussi sur mon site austère de samizdat), depuis quelques années, j’ai enfin compris qu’on ne mettra (...)