Avec la schizophrénie d’un personnage, il faut noter la tension permanente qui règne au sein du milieu graffiti entre ceux qui (se) vendent et les sauvages, voire tout ce qui font les deux.
Piero Manzoni n’offre qu’une resucée un peu osée des ready-made de Marcel Duchamp. Ce qui est assez triste c’est que presque un siècle après l’auto-réflexivité critique artiste n’a toujours pas fini de se regarder le nombril. C’est normal : ça rapporte plein de fric.