Je crois que Jean-Pierre Garnier a bien exposé les raisons pour lesquelles il n’est pas question de se laisser aller à je ne sais quelle culpabilité de classe face aux exécuteurs des basses oeuvres. Je me rappelle encore cet énorme bombage sur les murs de Nice après mai 68 : « Etudiants, fils à papa. CRS, fils du peuple. » Et l’ouvrier du PC d’approuver gravement d’un hochement de tête. Mais ta question reste pertinente, ZéroS : qu’est-ce qui pousse certains fils d’ouvriers à choisir l’armée des Versaillais plutôt que la Commune ? Qu’est-ce qui pousse d’autres fils d’ouvriers à s’engager dans les SA ?
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