Les temps sont si durs pour nous, les petits vieux qu’on va assassiner sauvagement demain, ou après-demain (tu vois bien que je m’y perds), que cette distorsion de l’espace-temps provoquée par la masse imposante de l’étoile Hortefeux m’avait échappé.
Heureusement que j’ai lu aujourd’hui ce billet d’hier : il ne faut jamais remettre au lendemain, surtout par les temps qui courent.