Il y en a qui s’illusionnent encore sur les enfants. Qui observent leurs jeux avec attendrissement. S’émerveillent de leurs sourires. Rient de leurs pitreries. Ce n’est pas mon cas. Et je n’ai pas attendu de lire Freud ou La Guerre des boutons pour savoir que l’enfant est un adulte en puissance, potentiellement violent et irrémédiablement tyrannique. C’est pas moi qui le dis, c’est la littérature. Innocence mon cul.
« Bandit ! Voyou Voleur ! Chenapan ! / C’est la meute des honnêtes gens / Qui fait la (...)