Parmi les représentations les plus fertiles de la faim du monde, ne pas oublier les films de George A. Romero. Ses histoires de mort-vivants répertorient de façon très convaincante les tares autodestructrices qui rendent ce monde si intéressant à observer (consommation, cupidité, racisme, militarisme, lobotomie par les médias, etc.). Super article.