Il est bien le récit de vie de ce gars-là, comme certainement plein d’autres.
La différence avec aujourd’hui en France (et probablement ailleurs) tient presque entièrement dans la citation de Jean-Pierre Garnier, mais aussi dans le fait qu’une bonne partie des radicaux révolutionnaires passent leur temps dans des bureaux à gloser et dans l’entre-soi top confort, et très peu auprès des personnes qui ont le plus de raisons de se révolter, c’est-à-dire les prolos, les précaires et les exclus de tous bords.
Je crois qu’on ne peut en prendre que de la (...)