Ça me paraît un peu psychologisant et « israélo-centré » comme analyse tout de même : Pape fait essentiellement reposer le problème sur la mentalité de la société israélienne, qu’il s’agirait de changer — bien sûr entre autres choses — pour arriver à la paix. Dans cette perspective, n’aurait-il pas été plus conséquent pour lui de rester en Israël aux côtés de ces « groupes alternatifs » qui « contre toute attente ... avancent sur cette longue et sinueuse route vers le salut » ?
Évidemment c’est facile à dire, mais il en appelle lui-même sur ce sujet aux « partisans à l’étranger », qui ne sont cependant toujours pas (...)