C’est très, très vilain, espèce de charançon aux oreilles pendantes [1], de critiquer un président qui promeut non seulement la gastronomie des USA, mais aussi sa langue.
Qui sur son site rafraîchi a eu la délicate attention, avant sa visite au bon peuple de là-bas, de prévoir pour les anglophones mal-voyants et mal-francophones un petit bouton mal-visible grâce auquel ils peuvent entendre son C.V.
Quel bonheur, le croisant chez Jim’s Hot-Dog-Up-Your-Arse, d’enrichir la rencontre en apprenant qu’avant de devenir président of ze franche reupeublique, le grand homme fut sucretari ande mambère of (...)