C’est l’évidence même. Chacun de nous a des livres-chat, des livres-éléphant, des livres-faucheux, des livres-oursin, des livres-geai, des livres-chimère... (chacun complétera selon son cœur) Du temps du Paradis, on pouvait vivre avec eux, même les plus sauvages, sans crainte ni frayeur. Mais comme il n’y a plus de Paradis, l’empaillage de leurs auteurs, c’est vraiment le second best.