vendredi 8 octobre 2010 à 23h01, par pièce détachée
Enfoiros, j’abonde !
Toute méfiante que je sois, le texte serré de Pierre Cornu m’a fait comprendre (je l’ai lu plusieurs fois à des moments très différents) à quel point nous avons changé d’échelle, et comme il est vain de ressasser sans fin, une fois nos cultures construites solidement sur eux, nos classiques révolutionnaires.
Plus et mieux plus tard (la vie est un précipice urgent, terrible et délicieux).