L’Algérie n’est pas un pays. C’est une chasse gardée, une prébende (celle des héritiers du clan d’Oujda). Le système politique est factice et tout le monde sait que les mandats de députés et les postes de juges se monnaient contre espèces sonnantes et trébuchantes. La cooptation dont il est question ici, n’est que du vulgaire clientélisme. Le système économique est tout aussi illusoire puisqu’il repose entièrement sur la rente gazo-pétrolière. Il faut chercher les causes du mal algérien dans les conditions de l’accession à l’indépendance, elle même un faux-semblant. Il n’y aura jamais de printemps algérien (...)