Confier aux grassouillets sociaux-traîtres -nos empâtés prélats des temps post palatale-révolution en phase terminale, dont l’orgiaque existence même repose de toute sa pachidermique masse graisseuse sur la trahison du peuple-, une réforme comportant le mot justice sans le galvauder revient à rejoindre la très encombrée file d’attente pour apercevoir Godot, file d’attente à côté de laquelle celles vécues par les polonais du temps du mur, dure le temps d’un clignement de paupière ou celui d’un battement d’aile de papillon. C’est beau un battement d’aile de papillon...mais je m’égare. Reprenons. L’éternité (...)