Je suis secrétaire d’un CHSCT (syndiqué aussi à Sud) et je ne comprends pas très bien le rapport entre un changement de président de CHSCT et le blocage de l’enquête : le code du travail donne aux seuls élus du CHSCT un « pouvoir d’analyse et d’enquête ». Si l’enquête est maintenant aux oubliettes, ce ne peut donc être du fait du changement de président de CHSCT - qui est le patron de « l’établissement », donc le patron de France Inter, lequel peut mandater un représentant - qui n’a aucun pouvoir pour cela.
En tout cas, si l’on voulait réellement ne pas lâcher enterrer cette enquête, il faudrait commencer par (...)