mercredi 10 juillet 2013 à 19h26, par Gilbert Duroux
C’est assez fendart, cet argument d’Agnès Le Bot sur la pauvreté des témoignages. Je reprends une réponse à Ruffin, sur le blog de Fakir, venant d’un certain François.
Il rappelle ce qu’avait répondu François Ruffin aux étudiants du CFJ, qui avaient eu droit à une page rebonds de Libération pour défendre leur chère boite à formater les éditocrates, que Ruffin avait éreintée dans son (excellent) bouquin « Les petits soldats du journalisme ». Ces apprentis journalistes disaient en substance : « notre école n’est pas parfaite, mais celle que décrit François Ruffin n’existe pas » . En plein déni, qu’ils (...)