“Pour te donner une idée, il jongle avec les mises en abîme tout au long du bouquin en cherchant à donner l’impression, par sa narration et au travers de notes de bas de pages faramineuses (certaines font quatre pleines pages de long), que l’ouvrage, écrit par une révolutionnaire de l’époque racontant le parcours de son amant - un leader ouvrier ultra-charismatique - a été retrouvé, commenté et annoté sept siècles plus tard dans une société (« communiste » ?) devenue depuis plus ou moins parfaite. Un peu bordélique, je te l’accorde.”
Alors ça, c’est parce que dans les éditions françaises il manque le (...)