Mépris, sûrement, alimentation d’une peur croissante de ses voisin/e-s (au sens large du terme) surtout. Honnêtement, ça me fait badder. Mais il est vrai qu’en voyant tous nos collègues/voisin-es/inconnu-es, ces sombres personnages (jeunes et bronzé-es, surtout) se balader le soir et en les supposant potentiellements dangereux-se-s (puisque c’est tellement à la mode), la paix sociale règnera, ô grande déesse, enmitouflé-es dans nos chauffeuses à s’abbreuver de TF1. Gloups !
Peut-être une carte de voeux serait une bonne idée. Avec le père noël et des gentils rennes. Ce serait probablement l’occasion de (...)