Je crois la thèse de « l’abondance de la critique » fausse. Je ne vois pas ou presque de critique du niveau de celle de Marx et Engels aujourd’hui ; pire que ça, la critique marxiste est occultée presque partout. D’une part on se démarque de Staline, à juste titre (encore faudrait-il le faire d’Aragon aussi), de l’autre on continue de faire croire que Marx est un partisan de l’Etat républicain ou ouvrier. Les médias jouent un rôle de brouillage radar intensif, relayé par l’Education nationale.
Un exemple : le coup du « fachisme » ne vient pas des cartels ou des plumitifs employés par eux, mais... de « (...)