Pour avoir essayé plusieurs fois l’exercice de réunions publiques ou d’autres tentatives de démocratie participative, c’est vrai qu’il n’en sort globalement pas grand chose.
Il faut dire qu’indépendamment de la couleur politique du porteur du sujet débattu, la question principale est toujours la même : Comment limiter les hors-sujets « macro-paranoïaque » des ultras, les skuds d’une opposition toujours exagérément outrée (voir la qualité des débats à l’assemblée en ce moment) et enfin les hors-sujets liés à la défense d’intérêts très personnels (« on s’en fout du chien de votre voisin, on parle du Louvre à Lens (...)