mercredi 23 décembre 2009 à 03h14, par pièce détachée
Contrairement à Calagan, je ne connais pratiquement pas le travail de Watkins, mais après avoir lu cette présentation, je me méfie aussi.
Que le concept de docu-fiction fasse réfléchir, c’est ce qu’on peut souhaiter de mieux à quiconque en a vu un seul — qu’il soit de Watkins ou non, diffusé ou non à la télé (les plus pernicieux étant peut-être ceux d’Arte). Comme l’écrit Benjamin, « il s’agit d’entremêler réalité contemporaine, reconstitution historique et implication des « acteurs » », de mêler « images fictionnelles et véritables informations » — et le très dangereux problème est bien là, dans le mélange des (...)