J’avais 13 ans quand mon père, anar, m’a fait lire « Mort à Crédit », et 14 ans quand j’ai entendu « Rock around the clock » pour la première fois au cinoche. Quel rapport ? Deux chocs. L’un littéraire, si l’on peut dire car Céline massacrait allégrement ce que l’on entendait jusque-là par « littérature », l’autre musical, encore que Bill Haley et ses Comets donnaient moins envie de les écouter que se dresser de son fauteuil pour aller gesticuler dans l’allée. Dans les deux cas, divorce entre la forme et le fond, comme cela a été rappelé. « Graine de violence », le film de Richard Brooks auquel « Rock around (...)