Vous êtes très amusant : vous nous expliquez maintenant que la rédaction d’un journal d’extrême gauche relève des droits sociaux. Pourquoi pas ? J’ai déjà répondu ceci :
Des millions de gens dans ce pays ne se compromettraient pas pour bosser dans un canard, quel qu’il soit, et vu leur réputation on ne leur proposerait surtout pas un « emploi aidé » pour ça.
Ce qui voulait dire, entre autre, que les « emplois aidés » ne les obtient pas qui veut.
Mais il y a mieux : quelqu’un plus haut nous expliquait, à charge de CH, avec une farouche fierté :
En s’informant sur la dérive droitière de Val, on en (...)