samedi 20 avril 2013 à 21h25, par Musée de l’Europe et de l’Afrique
Le problème du FSM est qu’il ressemble de plus en plus à la croisière s’amuse. Peu d’organisations viennent avec du matériel militant, qu’elles pourraient d’ailleurs imprimer sur place à peu de frais à condition de s’intéresser au pays accueillant un peu en amont (ça serait de la doc utile pour les militants locaux). Les militants étrangers repartent sans avoir rien vu du pays à part des salles de classes... Pas un militant n’aura mis un pied à Borj Amar, le quartier plutôt pauvre situé en bas du campus, ni dans le terrain qui les sépare royaume de quelques bergers. Ils n’auront donc pas compris que ce (...)