Délicieuse couverture, qu’assise en majesté à la terrasse du bistrot nous dégustons lentement, tandis que l’humanité souffrante se rue pour l’acheter juste à côté (et si ces malades-là ne se sont pas encore abonnés, nous les embrocherons sur leurs parapluies).
Les bisous ne sont pas notre fort, mais le regard ombré de longs cils du pélican messager à la bouche en petit cœur transperce de ses yihaaa ! le nôtre, qui est un dur caillou.
Amour éternel.