lundi 28 janvier 2013 à 19h13, par Jean-Pierre Garnier
Réponse de J-P Garnier à ZeroS
Bien qu’elle me semble reposer sur un malentendu, la critique de ZeroS a le mérite de soulever une intéressante question : quel ton adopter pour parler des éléments des classes populaires enrôlés comme chiens de garde de l’ordre établi ? Ironie ? Commisération ? Respect ? Indignation ? Neutralié ? Je passe rapidement sur le malentendu. À lire le commentaire de ZeroS, l’un des paragraphes de mon topo témoignerait d’une morgue universitaire doublée de la suffisance des révolutionnaires autoproclamés à l’égard ou plutôt à l’encontre des laissés pour compte (...)