Il faudra tout de même dire à Annie Gonzales qu’il y a pas mal de gens qui aurons vu ces films non pas grâce aux seules salles d’art et d’essais, bien peu nombreuses, mais également grâce au « piratage » ... je ne serais pas étonné que les chiffres soient assez élevés, et que les « djeuns » les voient comme ça plutôt que durant des séances publiques un peu rébarbatives ...
Ils devraient sérieusement penser à utiliser les canaux digitaux libres pour faire passer leur films (bittorrent p.ex.), il est probable qu’un des modèles de financement existant corresponde à ces productions et à leur public (souscription (...)