Oui, je sais bien, c’est d’ailleurs une des raisons de ma virulence : Ben est un esprit fécond et bordelique, un parfait terreau à yahou. Mais il a évolué d’une manière qui, à mon sens, interdit l’indulgence. D’avoir visité son musée niçois, je connais ce que le bonhomme peut avoir de lumineux. C’est encore pire. Je pardonne à l’imbécile où au limité quand il clapote dans la compromission, beaucoup moins à celui qui disposait d’un réel talent.
pourquoi ne tomber que sur le rable de Ben ? Je te l’accorde, ils sont beaucoup à mériter pareil traitement (mais il reste quand même symbolique d’une certaine (...)