ARTICLE11

Poster un message

En réponse à :

Une déchéance sans échéance

vendredi 1er octobre 2010 à 05h06, par tueursnet

Qui a dit que la peur a changé de camp ? C’est comme si les enfants d’immigrés voulaient à tout prix nous faire payer les pots cassés du passé décomposé. L’un d’entre eux, Malek Boutih parle de contre-culture pour nous signifier que les petits caïds de banlieue n’accepteront jamais la moindre identification. Ils ne se sentent ni immigrés, ni intégrés, ni assimilés… Points de suspension ! En vérité, ils ne partagent avec nous, pas le moindre sentiment… c’est le ressentiment qui les caractérise ou les stigmatise. Déni de culture. Non ! ce serait plutôt la culture du déni : déni de nos valeurs, de nos (...)


Un message, un commentaire ?
  • (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)