Et puis, au fil des messages postés, de moins en moins de réflexion, de plus en plus d’obscénité. Ce que je dis concerne aussi mon verbe. J’arrête là. À nouveau submergée par la rage et le désespoir. J’ai mille fois plus de haine et de mépris pour les I-gauchistes (à défaut d’appellation plus pertinente) que pour les sinistres pieds nickelés qui ont perpétué le carnage. Les pages des réseaux sociaux de bien des ci-devant autonomes depuis mercredi : un égoût où la bêtise le dispute à (...)